Journalisme jeunesse

En bref :

Formation

Diplômée de l’École Publique de Journalisme de Tours (EPJT, reconnue par la profession), après un master d’histoire contemporaine sur les objets culturels de l’enfance (université de Caen)

Expériences en presse jeunesse

  • Normandie Jeunesse
  • Sciences et vie découvertes
  • Le Monde des ados
  • Piges en presse écrite
  • Création du podcast « Mon Petit doigt m’a dit« , l’actualité vue du haut de trois pommes, en 2012

Et en ce moment

Je suis journaliste pour La Radio sous la Cerise, une radio par, pour, sur et avec des enfants (programmation musicale, et surtout conception des podcasts, animation).

En moins bref :

Je faisais des études d’histoire qui me passionnaient. Je faisais de la musique (beaucoup), de la photo (au moins autant) et de l’animation (dés que possible). Mon rêve de longue date était de devenir journaliste. Mais je ne sais pas choisir : je voulais faire tout ce qui me passionnait. Alors pourquoi pas journaliste, mais : pour les enfants ?

Pendant mon master, j’avais donc trois casquettes : étudiante-chercheuse sur les objets culturels de l’enfance (Mon sujet : l’actualité dans la presse enfantine, le monde des années 60-70 vu par Fripounet), stagiaire journaliste (à La P’tite Boîte et Normandie TV), et animatrice podcasteuse : pour tester la radio et les formats web, j’ai créé un podcast, « Mon Petit doigt m’a dit », que j’enregistrais en centre de loisir.

On m’a dit : il n’y a pas de formation de journalisme pour les enfants. Alors j’ai fait une école de journalisme pour grandes personnes, spécialité magazine, à l’EPJT. Chaque média était abordé, et j’ai également découvert le photo reportage. Toujours décidé à travailler pour les enfants, j’ai fait mes stages de fin d’étude en presse jeunesse.

On m’a dit : tu n’as pas une voix de radio, ça ne passe pas du tout. Alors, après quelques détours (piges, photo reportages…) je monte une webradio pour enfants : La Radio sous la Cerise. Je n’ai pas une voix de radio : ça tombe bien, ce n’est pas ma voix qui compte, mais celles des enfants, de 0 à 100 ans. Et tout se recoupe : fabrication des podcasts « à la main », avec mon petit micro, photos « maison », programmation musicale, sujets variés et vivants, et surtout, des vrais bouts d’enfants et d’enfances dedans.

* * *

Dire que les journalistes pour enfants ne sont pas journalistes revient à affirmer qu’un pédiatre n’est pas médecin.